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Revues Scientifiques

Suivi Médical.

- 20 mai 202020 mai 2020 - Jacques Youinou

Suivi Médical Suivi Médical des Vétérans et de leurs Familles

Les vétérans demandent un suivi médical, à la fois pour eux et leurs enfants et petits-enfants, effectué par des médecins connaissant bien les maladies dues aux rayonnements ionisants.

Fréquence:

Une fois par an ou tous les 2 ans.

Pourquoi ?

Pour la prévention des maladies des vétérans et pour ceux qui sont malades, savoir l’origine de leur(s) maladie(s), si elle est due à l’irradiation ou la contamination radioactive.

Descendance.

En cas de maladies et/ou malformations des enfants, les vétérans souhaitent avoir une explication, si possible, cohérente et vraisemblable sur l’origine. Pourquoi cette discrimination entre Polynésiens et Métropolitains ?

En Polynésie, une Convention a été passée récemment (30/08/2007) entre le Gouvernement polynésien et l’Etat français pour un suivi médical des anciens travailleurs des sites et des populations résidentes près des sites d’expérimentations.
Métropolitains (civils, militaires), pourquoi le suivi médical n’existe pas ?

Sous prétexte des essais “propres”, 40 ans plus tard,il ne peut y avoir des conséquences sur les hommes ni d’hypothétiques effets sur leur santé (rapport de l’Office parlementaire sur l’évaluation des choix scientifiques et technologiques, février 2002).

Sous prétexte du suivi sanitaire qui s’effectue normalement dans le cadre de réglementation du travail en vigueur, une telle convention est sans objet (lettre de Mr de la Gravière à l’AVEN 18/09/2007).

La plupart des vétérans sont à la retraite, ils ne bénéficient pas de la réglementation post-professionnelle réservée aux industries nucléaires.

Nous avons été exposés aux mêmes risques, à la même contamination, il est donc indispensable d’avoir le même suivi médical.

L’étude épidémiologique sur le suivi des vétérans du CEP du Pacifique.Cahier des Clauses Particulières n°112 du 14/11/2006.

Objectif:

Le ministère de la défense a décidé de faire réaliser une étude épidémiologique sur le risque sanitaire lié à la participation de ses personnels (civils et militaires) aux campagnes d’expérimentations nucléaires, au centre d’expérimentations du Pacifique (CEP) entre 1966 et 1996.

Durée de l’étude:

environ 2 ans.

Dans l’Appel d’Offre , l’AVEN a été surprise d’observer que dans la Quatrième partie : Utilisation des résultats, l’article 19.2 mentionne les droits de la personne publique à adapter et reproduire ces prestations.

Le ministère de la défense se réserve le droit d’adapter (modifier) les résultats du travail.
Cette interprétation est contestée par le ministère de la défense.

Dans l’annexe 1, constitution de la cohorte, la cohorte est constituée de l’ensemble des vétérans ayant participé aux essais nucléaires français dans le Pacifique entre 1966 et 1996 et ayant bénéficié d’une surveillance dosimétrique (les porteurs d’un dosimètre).
Elle comporte 41193 personnes dont 36157 personnes pour lesquelles l’identité est complète.

L’AVEN présente des nombreux témoignages dans lesquels des vétérans qui se souviennent d’avoir porté des dosimètres, ont demandé leur passé dosimétrique et ont eu la surprise d’avoir reçu la réponse officielle qu’ils n’avaient pas de dossier médico-radiobiologique.

Sur l’estimation de 120000 vétérans dans le Pacifique (rapport final du C.S.S.E.N., mai 2007 annexe H), les personnels étudiés représentent juste 30%.

C’est une minorité des personnels qui ont été affectés en Polynésie.

Les résultats de l’étude épidémiologique sur la mortalité et les causes de décès en se seront affectés.

L’AVEN espère que le suivi médical pour tous les vétérans se fera bientôt et pour les enfants plus tard car il faut laisser le temps que les spécialistes du ministère de la défense prennent conscience que la recherche évolue

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